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- Tchin.
- Tchin.
Nuit de tchin. Je lui apprends peu à peu à aimer le vin, et elle a choisi pour son seizième anniversaire une bouteille de Gevrey-Chambertin. Ce nest pas ce que je préfère mais elle a plus usé des sons que du goût mexpliquant que le Gevrey-Chambertin cest parce que tes givré et que pour la chambre je fais tintin!
Je nai rien à objecter tant il est vrai quau bout de dix-sept jours je ne lui ai toujours pas soulevé le tutu.
Atmosphère. Pour cette fête, elle fait la gueule.Cest pas ça, jme suis habillée en drame du soir cest tout! elle persifle. Sa peau encore tiède dune après-midi de plage shérisse dune chair de poule. Les épices chaudes de la journée ressortent maintenant à la fraîcheur de la nuit. Attente, puis la peau hâlée tiédit ne refroidit plus.
Ses yeux brillent, me trouent lactés. Lèvres mobiles. À ces mouvements incontrôlés, je la devine césure trempée sous sa culotte. Je vois par son échancrure une sueur moite perler sur les poils blonds pas encore rasibus sous les bras. Jai envie de fourrer ma langue dans ses lèvres fraîches qui tremblotent, de happer sur sa peau lodeur acide-sucrée-sacrée, son calice sa perle bénite, de promener un doigt sous ses aisselles de le passer sous mes narines et respirer très fort à men faire péter les poumons!
Elle calinage de cils. Se demande si cest le bon moment pour essayer une fatale estocade, pourra-t-elle baisser sa robe sans que je rie, na-t-elle pas le ventre trop rond après avoir ingurgité une caille aux raisins et demi. Elle doit alors juger que non puisquelle fait lentement glisser sa robe et se retrouve à poildu sauf un slip blanc des jarretelles et des bas de soie claire. Tout fourni par Rachel.
Ne pas succomber, faire le difficile.
- Voui... tu es tout juste passable, Cerise.
Elle le prend bien, fait la mouton. Cest extrême louche.
- Ah oui? ça suffit pour avoir un jour le bac. Crois-tu que je sois photographiable? Ne voulais-tu pas me prendre?
- Oh te prendre non non... la pellicule ne te vaut pas. Te mettre dessus serait te gâcher.
Ai craqué. Approching delle ma bouche sa bouche ça lèvre contre lèvre pousse pousse à jouir jouir, ça craque poinçon suis mordu, lhameçon fort accroché en moi si je recule ça senfonce si japproche ça senfonce sa bouche sa, contre mes lèvres lèvres, aromates elle me fort mord est-ce elle ou moi qui mord la carapace du bonbon à liqueur, on ne sait mais dune bouche coule de la salive que lautre lape, et inversement. Trouduc de baiser! Deux assoiffés! Cest alors que des mots suivent comme tirés par le liquide, de la bouche se déversent cavalcadent étuvent explosent éruptent cest ça, si me prendre cest me gâcher gâche-moi! joue à gâche-gâche, gâche moi à jamais et que lon nen parle plus, mets ta gâche dans ma serrure, joue au serrurier céleste cest mon anniversaire allume ta bougie entame mon gâteau et branle-moi petit con! les mots déferlent tandis quà contrario doucement doux lancinement elle pose son cul sur mes genoux toute ralentie pour roucoulade, lextrême vite et lextrême lent.
De la terrasse elle ma emmené sur la pelage et sallonge plage elle dit, pas pelage! Elle veux que je mette ma tête sur son ventre cest tout, il ne sagit pas dautre chose naie pas peur elle ruse. Je la pose, fais le docile et là une armada dodorifères samouraïs me chargent, ça joue sur ventre ça odeurs ça vents bruissants ça odeurs de plus en plus fortes ça ongles doigts dents font vont sont poussent ça tête qui abaisse un peu son slip ça glisse début poils épices ça marasquin ça avec dents claque string ficelle ça toi elle déserte ça odeurs odeurs odeurs ah le poison glisse, vent, toi, arq! mégashoot! ma gueule pleine serrer les dents pour ne pas que je lesclabatte de mon foutre trop tôt sorti de moi, elle me serre les mains y enfonce les doigts et je me fais un noeud. Calme calme calme, tête oui sur ventre chaleur intense brûle Mais calme... montent toujours delle ces odeurs doranges confites de zestes dagrumes de noix dépices et un peu de nuoc man chinois, tout un bouquet capiteux et frais en notes de tête, riches en notes de coeur et musqué puissant en notes de traîne. Quand elle ne parle pas elle est toute poupée ébarbée lisse! chic! jouet! gosse! riche! mes frissons reprennent, ma queue prête à vomir et ses doigts me rentrent dans les paumes. Ma tête contre son ventre oh la mort! oh la mort! je la sens aussi palpiter, sous presque ma bouche coulent aussi des rigoles poisseuses, les sueurs de son attente mentrejambent je vais chaque fois pour partir mais reviens suis gutta percha delle qui scontracte, sécoule, moite par moite seffeuille, un peu gluante, elle chouine mon bébé gomme len punir sa culotte est toute imprégnée dun petit jus confit y mettre quoi? un doigt? une langue? te confitsquer avec délice tout ce sucre bavant denfant mâché, ah mon infante impolie tes mouillée pour masquer ten rajoutes tu mcraches dans la bouche pour que jme talaise, ça mcoule ta fraise fondue ça mrouge à petites lèvres amère délictueusement, maintenant tu te dilatéverses de toutes les extrémités tes yeux pleurnichent de lapin ton nez rougecoule tes sens gémissent ton désir tête, sous ta culotte dans ta cale ya intense voie deau tu en as mare nest pas inhibée mais imbibée, tires ton slipotte le serre entre tes doigts le serpillières fort et je je vois ta vermeillette fente, tu fais couler de leau du slip tant le presses, seize ans sixteen gouttes! le replace gémissante non sans une caresse furtive à ton petit pois rouge.
Laime-je? Pris par elle. Tendu par elle. Jouet. Lumineux jouet de chair. Elle voit que je bande amor. Ne me touche pas, pas encore, vois comme il est prêt de la rupture. Tendus côte à côte nous sommes deux vélins triturés deux pages qui sécrivent deux peaux de maîtresse, attendre, fermer les yeux, lire en braille MAIS ON NE PEUT PAS! ON LES OUVRE! REGARDER! ah! sommes deux voyeurs à simmiscer dans le gros tome de lautre! fourrager dans sa librairie, plonger dans linterstice de ses pages, la scène écrite ne vaut-elle pas mieux que celle jouée Cerise? alors elle éclate NON! non non ça ne vaut pas mieux! se retourne memmallebranche ou essaie mais je ne veux pas! sen fout de mon cri elle se décadenasse du slip encombrant me presse ses lèvres contre son con suintant ah y respirer y mameller y être animal dans oasis jplonge jgueule dit non mais my abreuve, parfois je sors la tête hors du pot des délices, il ne faut pas il ne fléau pas le mil... mais comme mes vêtements me gênent je les ôte aussi, elle voudrait le faire mais tremble trop et contre les tremblements y a rien à faire cest pire que la rouille. Maintenant la bête est sortie de sa réserve et Cerise me suce le sexe comme on ne la jamais vu faire dans les films hollypubiens cest à dire très mal, je la relève elle insiste, me lenfonce dans ses anneaux alors je les lui défronce lui parchemine la langue puisquelle veut tout le missel, elle atutoie palpite palpe bite fait ses croix ses gammes puis finit par recracher le gigotbâton.
Respirer bien fort, repartir à zéro. Je lui ai dit ne réveille pas trop la bête mais elle a ri. Ai mesuré la fillette, 1 m 51! ai fait des calculs ça ne fait pas un gros cul pas un gros con ça te ressortira par les oreilles. Si tu veux tu continues me suçotes un peu cest tout, ou je me masturberai entre tes belles miches déjà rondesdodues pauvre con! si cétait pour les hors-doeuvres, je serais resté à ton cocktail des 25 poils! CEST LE PLAT DE RÉSISTANCE QUE JE VEUX, TROUDUCULNOBEL DE MERDE! elle a lèvrepondu pffffff ne réveille pas létron qui dort petite, alors elle a mignardisé près de mon oreille et jai senti toute son odeur avec le cortège entier des pages des bruissements furtifs, ma main sest collée à sa fente et je men suis humétrifié le tarin ô Galathée pestilence de Corneille, abomination, sa langue me fait épine longtemps très longtemps très... son baiser est si doux quil me fait mal, suis encore à un doigt de biteclaquer, oh là là lui mettre bride sur le cul essayer de la retenir, je la supplie de ne pas se presser, ne sois pas créhature je ne veux pas têtre précipriaque je tacculpe de presserie ma cherry, Cerise cherry chairie, oh quand le verbe sempeaute lamour poisse, CEST çA QUI COULE DU CON, LE POISSEUX DU VERBE EMPEAUTÉ! Elle se met alors à pousser des cris, un peu folle, pigeon vole, le rideau crouledelle, nouvelle Eve souvre-dechiere, tout à coup cest Kierkegaard Baudelaire Wagner la nuit lautre versant de ses livres de cours, littérature salle obscure sexualité superstitions, voilà la boue voilà lamour, racisme digue dogme nippes, Genet Breton Musil, parade passion, lindiscipline des moeurs les hommes préfèrent les blondes certains laiment chaud tais-toi! tais-toi! tais-toi! gemmit Cerise crachant diamant sur diamant, con sur canapé, quittant ses palmiers de perfection pour la pergola de la colère mais tout de même en 1964 faut quchte raconte la mort dune amie de Roger Vailland qui disait à seize ans jai donné dans le mysticisme à 19 jai failli entrer au parti communiste maintenant je donne dans lérotisme tais-toi! tais-toi! tais-toi! elle collier de perles pépette de la bouche, anus belli du verbe, TAIS-TOI! ENCULE-MOI! FAIS LHOMME! et elle recommence à me suinter le sexe, fait comme si cétait là verge de sel dont elle était brebis gourmande, moffre son fessier tout dodelidodu et peu à peu poussi poussa dans le poussin je rentre dans Ephèse, mes hésitations sont maintenant moins longues que queue et quand la cavalerie va elle va! je fais sur elle un petit signe de croix au nom du père qui êtes odieux ça y est je sens que ça vient sous sa ma langue la ribambelle décoche quand ça va sous la langue ça sétend sous le pieu ça y va caramba! lépieux! une Bible encyclopédique puis encyvergéthique! ah maintenant haïli haïlo jdeviens lévêque spirite de son évêche-évasque, le spirbite de son Eveàchier! le crénom-de-Dieu de sa faisanderie! je tourne à contre sens de son jeune vice cruciforme, jouvre sa bague denvergeture, arrache paniquement sa tige autotone, la ravis en béotitube tant et tant que la lune a apparu puis a disparu MAIS AVEC TOUT çA JE SUIS ENCORE VIERGE!" crisse-t-elle de cristal tu as parlé pour ne rien faire et moi suis vierge! vierge! vierge! le mot lui roule sous langue, tu as raison surlachérie-je, fais-le bonbonrouler fais-le bonbonrouler fais-le bonbonrouler, jusquau dernier moment profite-le engraisse-le dresse-le habille-le maquille-le parfume-le, vierge ce nest pas quun mot cest la vraie histoire de Circé yeux ouverts effarés devant deux ânes qui sapprêtent à la pénétrer, deux ânes! et Circé toute fendue dans lattente lapproche tendue élastomère, Circé devant ces quatre pattes, deux de lonagre deux de lhémione, deux mastocbites! alors de peur Circé en a chié, nombres font ça au peloton dexécution, Circé nest plus quà 5 millimètres des braiments dânes, elle va le sentir ce brame! encore un millimètre et ce sera baudouinage, les braquemards ne la touchent pas encore mais elle en sent la chaleur la noirceur lodeur laura, Circé crève de trouille bouille folle cuite al dente, Cerise tu vois vierge ce nest pas seulement un mot cest toute la cour martiale de lenfance avec le mot bien en place au peloton dexécution alors elle crie TIRE! TIRE! TIRE!, FAIS-LUI RENDRE GORGE! elle brameâne, JE SUIS CIRCÉ LA PÉRIPATHÉTIQUE! VAS-Y PERFORE-LE! TIRE! CE QUE JE VEUX CEST CRIER, PLUS PARLER PLUS FRIMER MAIS ÊTRE PÉNÉTRÉE! PIMENTÉE! PÉPETTES AU LIT! CASTAGNETTEFLORE! QUE JE ME RAPPELLE À JAMAIS QUUN CONNARD EST PASSÉ PAR LÀ, VIEUX! MOCHE! CÉLÈBRE! CERBÈRE! QUIL MA PLANTÉ SON CIBOIRE DALCOOLIQUE PAS ANONYME MAIS JE MENS JE MENS JE MENTICULE MENTAIME MENDIBULE TIRE! TIRE! TIRE! QUE TOUS TOI MAUTOGRAVENT, QUE TU ME LA PLANTES! POURFENDS TA CERISE-CIRCÉ ET LE SIGNE DE MON SANG! TIRE! TIRE! TIRE! TU LE VEUX! TU LE VEUX! alors je lai dabord au quart engagé quart de solde cest pour goûter, piment dans le cul piment dans le con, elle en mexicaine se tortilla, ah cest ton anniversaire je vais te boogiesouffleter la paire de fesses, te pubissouffleter la coiffure tu vas avoir la coiffe en guimpe! vais te perruquer te pomponner le musoir, attendrir ton surplis de supplique, en coq vais tescocotter et tout ça ça sra hors doeuvre, ah tu veux lhomme tu vas lavoir, il en reste encore trois quarts dans la musette!... alors sur une pression ta main tes ongles me disent entrez! et larmée sengage, les yeux butés senfonce, défonce, cest lengagement les charniers les poilues pas 14-18 conasse! mais 39-45! ça cest un autre calibre! tu crois que cest fini mais ça rentre toujours ça canal de Panama ça barrique entière de fuel le plein pour lhiver mamzelle ah tant pis si ça déborde si celui qui remplit tarnaque un peu, tu gémis conasse ten voulais ten poulet bouffe! cest lestocavalcade! la démultipliée! la claquegrossebertha! ah cest pas pipeau, ça défonce lEuridyce, occipute lorifice, désaclesse la princesse, cyclonesque raz la mariée, cest vague Minotaure hein lencornée! trop dattente tétais toute outregonflée et la vague maintenant técrabouillage le valseur! les capelines crient, essaient de sortir la bête de toi mate-adore éventrée mais elle est coincée tes gestes laffolent encore plus et que les cornes te trifouillent le con! te festonnent la caverne! te sésament le trésor pillé puis tire un second obus, cest répétition du crime hariba quand ça y va ça y va! dans un cri le ciel se charge de fumée tu te défends malgré toi MAIS JE TE VERGECONCENTRIQUE MA JEANNE-DARC-EN-CIEL! te prends en en glaise, te fais pisser jaune Afrique, tes yeux démaux indigo rouge tirent au violet vierge, cest labattoir pas le paradis et tes larmes sur tes joues rappellent que seuls les anges au ciel nont peut-être pas de problème de sexe pendant que sétend ta Mer Rouge sur mes rois mages qui pendent, ET OUI CEST LE JOURDINDE IDIOTE! CONNE! ah merci mon infante, grâce à toi de du déclin je redeviens Du Guesclin puis Gilles de ta raie ô ma petite pourléfille, jai envie de tavilaime avec lancefemme, te pelucher, tétais pas en classe cétait pas une petite division mais de lamour sur des hectares, toute lhectarmée dHannibal des débutantes jai si mal... tu murmures, mais il est trop dard ma petite chierie, tu es maintenant toute Bossuet tes dévastée de littérature tu as pénétré dans limmense histoire des jambages insensées des lettres, tes cuissess en Y ont eu leur lot de grammaire et maintenant tu pisses des yeux, tu te paupérises, tévacul tévanouis mais sache de plus que Gilles de Raie nétait pas le seul satyre au monde, ainsi dans ta dernière ligne étroite je te narre guillleret qui fut Erzébet Bàthory, cette comtesse hongroise née au seixième siècle et morte au dix-septième murée dans son château pour avoir occis des centaines de victimes dont la belle Doricza, une blonde une dorée une superbe statue, paysanne qui osa lui voler une poire, une de ces petites et dures semblant confite dans du miel. Cette méchante Erzébet, Cerise écoute-moi, confina la belle Doricza dans une glaciale buanderie à peine attiédie dun petit brasier, pendant que je conte à Cerise cest lacte 2 ma bite concentrique la fouille lui fait la poche, elle pousse des petits i des petits a révise son alphabet puis me quémande la suite, jen reviens à Erzébet fourrageant elle aussi Doricza dans son chateau de Csejthe, ses bras rouges de sang ses manches de lin blanc relevées, torturant sans vergogne avec pinces braises et tisonniers, je sors de Cerise je rentre dans Cerise je sors je rentre... elle la voulu elle la eu... Cerisekirsch est Doricza et ma bite est Erzébet, le même sang était à terre au pied de la jeune fille, cest le même mur éclaboussé les mêmes manches de lin collées, Cerise cecrise se jambre, concave volubilis, cervre longres, follichiste et rabatcouilles, mattrabotte, déshababille en plus que parfait, cest glaciglaça courroux charivari,
AH ÉVACULER DANS TES CHAIRS! Rubens Rembrandt carmin, déménageur avec enfant; frisbi frisbi les cris des parents le sable du crabe dormeur, le marchand de glace, les amygdales opérées, je débraquetonne pinsipinsa totellement retiratrape sexfs cymboles ça claque morsure! 3/36ème de sa denture est marquetée sur ma peau, cest autograve de vierge, incisive frisson, elle se dévoile hirsute pleine de braises, la consommée rend les larmes, plisse le son, pffffuet... sécule... Ôsana! Ôsana! en corps ça suinte près de la plinthe ô Cerisekirsh ton fruit est pressi pressa, tu demandes enfin à ce que je me taise de ma chaire, dans lÉvanaissement tu termines le combat, dis nen plus pouvoir, que moi démentiel par le haut quand toi torrentielle par le bas, tu en as marre que ma nature verbeuse joute avec la tienne acqueuse, cest lutte bicéphale entre le géniverbal et la vaginogerbée, mes mots sont muqueux quand toi qui vagis, toi privée de et moi de la, les cloches teintent le sol de ton sang de cierge et je te tais et tu nes plus.
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