Le désespoir a pris des gants blancs depuis que Schmilbli est là. “Quatre jours déjà! je ne peux pas vraiment m’éterniser davantage” il dit. On pleure ensemble sur les déveines de nos vies, moi sur Ange lui sur quoi, en fait? il ne sait pas alors il dit que c’est pour le principe, la vérification des cinquante ans, pour savoir si ses glandes lacrymales fonctionnent toujours! On rigole! Léon Z. pleure aussi, usage mondain, faire toujours comme les grands et Anouchka essaie de colmater ce naufrage gérontocratique dont je suis l’enfant. Entre deux pleurs, je narre à Schmilbli un projet de film tiré d’un ancien roman “Démons et Merveilles”, ah Schmilbloc! si j’ai la force j’en somptuerai les images, 10 000 figurants nus et autant en grandes tenues, des chars à trois faucons, des tigres des antilopes des crinolines comme si elles poussaient à la place des cheveux, des cols charnus des cils charmeurs, des culs charnis... lui conquis d’entendre ça m’ouvre toutes les portes de la Russie et même l’Azerbaïdjan, l’Ukraine, le Caucase... il fournira les figurans, que dit-il, les figuresiècles! subventionnera! il me sert contre lui m’accolade me remercie au nom de toute la Russie, demande que j’acsceptre en roi... comment refuser à ce révolutionnaire repenti?
On s’entombe encore dans les bras! Trentième bouteille de vodka toujours plus jeune plus pleine, des otaries locales viennent jongler à poilski dans la piscine, des avec des seins mammouthesques comme il les aimeski, je lui en offre une, on réécrit l’histoire du féminisme quand je lui conseille de prendre de la graisse d’oie ou de phoque si cette chienne n’est pas assez ouverte car il faut reconnaître que Schmilbli est très laid et que parfois la nature reprend ses droits, c’est une revanche plus vaginistique que féminilipstick mais les effets sont les mêmes alors il faut forcer ce bouton d’or refermé en bastion têtu, face à cette résistance user de la ruse ancestrale du portefeuille, une ouverture suscite l’autre! du fric et elles mouillent! des fricopes! des vénénales! des culs-tiroirs-sheiks! le fric a les mêmes effets que la notoriété où des chiennes qui se disaient fidèles, si heureuses d’être l’élue, tombent encore plus bas que tout et se donnent gratos!
On trinque aux chiennes puis Schmilbli mobydick la grosse, l’hermanmelville au pied de la lettre “cli”, son zizi s’enclave dans les basses fosses de la grasse, se hisse à des cordes pour sortir du purin, se trisse à ses tresses met son cou dans le cul s’en pète la panse transe vagabonde, s’agrippe mur d’échine, hoquette halète défriche langue verte, titane les cuisses, retrouve l’énergie vraie d’un dieu, ressort hagard, triomphant, comblé, enivré, jusqu’à ce que les étoiles se claquemurent mais il devra partir... une semaine... aucun chef d’état ne fait de séjour si long.


Break. Bye. Avant de partir, il désire néanmoins que je lui raconte la plus grande bandaison de ma vie.
- Y’en a trop Schmilbli.
- Essaie te souvenir, pour la route!
Ah... Pffff... je lui raconte une histoire d’il y a longtemps, la rencontre d’une Gaëlle croisée sur un court de tennis qui transpirait, sueur chairnelle, moi je dardais tarin vers, oh! odheur, éclatage dans les narines de marines de bateaux, de ports, d’ancres, de symbarrages bittes... Elle se retourna. Me proposa d’’être le quatrième. C’était moins bien que le premier mais bon, j’entrai dans la partouze, l’auscultai, l’assistai, la dévisageai et aussi plus bas ah! elle ne portait pas de soutien-machine la tétine! je tapotai une balle sans conviction, la fricotai, elle me revint à quoi bon l’avoir lancée alors, je la loupai il fallait bien que ça cesse, matai la courbe du derrière oh oui Dieu existe! exslip! exiguë explose nec frugitur Dieu...
Son odeur... Ce devrait être interdit. ça estourbit trop, ça tourbe chaude sur laquelle l’alcool a coulé sorgho sorgho sorgho... rougeur sur tommettes de ses joues. La Dulcinée se baissi-baissa. Sous son superbe tutu de sportive un slip minuscule lui fendait la raie, ces fesses deux berceaux roses, s’y bercer vautri-vautra tétiner les tétines esgourder à sa gourde abonder de mes bourdes, tu m’suis Schmilbli?
- Dà!
Elle voit que j’ai aperçu son cul fendu, que de se baisser voili-voilà elle a dévoibeautiful plus que n’aurait voulu la retenue, elle en garcerougie glacis-glissa entre ses lèvres exculse jolie:
- Oui, j’ai oublié forgotten de chanter de culotte change my panties, bien sûr celui-ci n’est pas très indicated pour le tennis.
- Si. Très bien, je fais.
Son mot d’exculse je lui signe l’apporte moi-même au proviseur elle peut répéter sa faulte sa grandissime faulte méa culpi-culpa autant de fois qu’elle veut j’en redemande, ainsi Gaëlle se penche un pis un peu. Je regarde dans la faille. Un vertige me prend.
- Il ne faut pas regarder!
- Non, ne faut pas! Penchez-vous encore un peu pleause, penchepleasez-vous, oh j’ai trop mal de vos profondeurs profondi-profondo, ivresse des abîmes, faut guérir le mal par le mal guérite sur spoutnick gaiebite sur solex oh soxi-soxa panorami-panorama.
Elle se penche plus en pressant les lèvres, ne veux pas me montrer mais se penche, moi ne veux pas regarder à cause du vertige mais regarde.
- Il ne faut pas non! Elle gemmit jolijument son rêvefus.
- Oh encure rêvefuse, supplie-je.
- Que coije?
- Oui. Que tuje.
- Oh non.
- Oh yesje.”
Elle s’accroupipi pour ramasser une balle oubliée, ses cuisses sont larges, pulpeuses, glaci-glaça dans ma tête s’ébranlent les wagonnets, son mouvement dégage une odheur un peu âcre qui me subjuge, j’aperçois une touffe auburn mouillée sous son slip trop transparent. Elle referme ses jambes, puis les ouvre de nouveau, résiste et les ouvre, mord sa langue, veut mais ne veut pas, choit à terre. Tout vu! Tout pris!
- On ne devrait pas!” recidilèvre-t-elle.
Se sauve, ivoire de son corps déjà loin.


Même lieu même heure mêmes assassins nous revoyons le lendemain.
- On ne devra jamais jamais dit-elle, sinon tout finira, regarder un peu c’est tout mais ne pas se toucher ne pas ne pas sinon tout finira. Sortons ensemble ce soir. Passez me prendre à 22 heures 30 précises. Si vous avez une seconde de retard, vous ne me reverrez plus jamais.”
Je suis ponctuel. Devant moi elle apparaît en robe superdécolletée jusqu’à la pointe des nichons, le mamelon prèt à jaillir, moi vouloir tant la saillir mais ne pas ne pas, la soulever de terre la transpercer, sa montagne éventrer mais ne pas ne pas et quand son doigt effleure le mien ah!
Je souris. Maffioso. La piétine du regard l’entube du regard, l’encule du regard, bite dans bouche, la voir dégueuler spermer ses interstices, en gerber quinze deniers mais ne pas ne pas, je regarde ses seins, elle en défait un bouton ne pas ne pas, ne pas ne pas ah! ces cils se baissent en tchador pendant que ses seins presque nus en pute. Je lui ouvre la voiture ne pas la toucher ne pas ne pas, ne pas la sauter ne pas, elle s’assoit en prenant garde de ne pas froisser sa robe en soie, dégage un peu ses cuisses, je conduis, ai dans les yeux ses chairs et plus la route, je roule sur son ruban de chair elle repousse ma main, l’enfourner mais ne pas, on arrive au bar du Casino de Deauville elle se penche un peu, je vois ses seins entiers avec les mamelons durcis si près de moi que je pourrais les toucher de mes cils, c’est trop, dans mon slip l’instrument fait trois mètres, la mettre la foutre l’enculdorloter l’encager non je fais non elle fait surtout pas, on sort ne pas ne pas, je baisse une bretelle ne pas ne pas, un sein se dégage puis l’autre ne pas ne pas, ses seins sont nus à l’air, je les frôle de la langue, y place la langue pas la bite pas la bite, me retiens, son cul moulé fait exploser le tissu, mes mains ne pas, sa moule farcie trempe la soie, la combler ne pas ne pas, je vais éjaculer face à elle ne pas ne pas elle dit aussi, je caresse sa peau un peu d’un doigt, sa bouche frôle ma bouche ma, viennent des passants elle remonte la robe, chaleur joue contre joue ne pas ne pas mais sa bouche... dur de se retenir se se retenir... bouche... vais pour m’écrouler sur elle sa langue ssa mienne ssa mienne, le baiser retenu flageolant elle se retourne ses cheveux m’emplissent la bouche mes dents s’enfoncent dans sa nuque, main dans main casino vous dansez moi à peine, mes mains balaient sa croupe tendue sous le tissu, c’est trop, on s’assoit, sa bretelle tombe un sein se découvre des gens regardent elle rougit mais laisse comme ça reste reste fasciné serpent, longtemps après elle remonte le saint-frusquin... le temps... la bite... on remonte en voiture elle prend place “ne regardez pas” elle dit, remonte sa robe par dessus son cul jusqu’au ventre, ne porte rien dessous, ses cuisses blanches prennent un rayon de lune, éclairée la nouille au vent ne pas lui engouffrer dans la bouche ne pas ne pas, elle se caresse mais conconduisez elle dit, conconduisez conconconduisez, elle s’énerve s’énerve se remue se remugle ménage, conduire oui mais ses cuisses dodues dodouces, suis prêt à éclater tant sa robe devant sur rien...pas platane! pas platane! elle remonte encore plus, jusqu’où Où...son cul, son con, crie! crie! hurle! ma main l’accompagne un peu l’acconcompagne elle ne dit rien longe la cuisse flatte la marre au milieu elle finit de crier je dois arrêter, c’est trop trop, ne pas ne pas, tu me laisses comme ça je dis, je regarde son con, elle se laisse faire, se laisse regarder, s’il s’il te plait ne me laisse pas comme ça, pas de place devant ne pas ne pas, on s’installe sur le siège arrière de la Buick, elle a encore remonté sa robe par dessus son cul, ne bouge pas pas elle dit, me déculotte, me prend dans sa bouche, suce suce, je contre ses seins seins seins la soie est frippée par son concon mon royaume pour cette suce j’éclate illicoco je rugis c’est trop, sa main entre ses cuisses ne pas ne pas, c’est trop c’est trop
NE PAS AHAH NE PAS AHAH NE, elle, les lèvres blanches piétinées de mon foutre ne pas ne pas, et elle dit “ESPÈCE D’IDIOT ON NE SE DÉSIRERA PLUS MAINTENANT, IL NE FALLAIT PAS!