Voyage ô frère passant, ici ce n'est pas la Chine ou l'Amérique, mais, au gré des interfaces, le festival de Cannes ou le Petit Prince revisité dans la vitrine des grands magasins à Noël. L'érotisme laisse place à l'esprit d'enfance, mais tout lecteur de revue est ce voyeur enfantin qui colle son œil à la serrure.
Ô passant voyeur mon frère, regarde le stylo et le sommaire t'apparaîtra, cherche dans les pages où la flèche de la souris se transforme en main et clique, une surprise se dévoilera, c'est partout du lapin sous le chapeau.
TZP La Revue On Line, fait suite à une revue sur papier encensée mais avortée, faute de capitaux. Elle resurgit de ses cendres et présentera des numéros thématiques.

Son but, esthétique et plaisir. L'intelligence et l'information viennent de surcroît, comme la guérison en psychanalyse. Le numéro 1, le fourre-tout délicieux, mêle des articles anciens jamais parus, mais auxquels je tiens, entretiens avec l'acteur Daniel Émilfork ou avec Alain-Dominique Perrin, PDG de Cartier, et des articles nouveaux sur les peintres Brissot et Mazilu ou la talentueuse Karyne Lamouille au nom si indécent. Chaque artiste fait l'objet d'une couverture virtuelle.
À l'intérieur même de TZP La Revue on line, Ô passant ludique, tu découvriras, au gré de tes clics, des bruits de baisers, de klaxons, ou encore des rires d'enfants.
À la suite de cet édito, Ô mon passant chéri, tu auras trois choix pour entrer plus avant dans ce site;

1 /une déportation semi-aléatoire par mots-clefs,

2/ une entrée mamellaire, à l'aveugle, en cliquant sur un téton d'une sculpture de Bellmer,

3 /ou l'entrée classique et complète en cliquant sur le stylo vertical à la gauche de ton écran.

À l'issue de ton voyage, tu peux nous envoyer une carte postale par la rubrique "écrire", mais ne te force pas… dore au soleil du jour et encore plus à celui de la nuit, et surtout jouis sur mon corps, tel est mon but, je me donne à toi.